11,50 € ISBN 9782919296095
10 x 18 cm, 72 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2020
C’est une carte de visite de moins de quarante minutes : avec Dry, autrement dit en 11 chansons, PJ Harvey s’est fait un nom – c’est pourtant encore celui d’un trio, que la jeune femme compose avec le bassiste Stephen Vaughan et le batteur Robert Ellis. Plus encore que « différent », Dry est un album surprenant, qui contient des morceaux que son autrice a composées pour personne d’autre qu’elle : à cœur ouvert, PJ Harvey y dit ses amours contrariées sur un lot de guitares rutilantes et pourtant rêches (« Oh My Lover »), emplit ses ritournelles de figures bibliques (« Sheela-Na-Gig », « Happy And Bleeding ») ou matraque l’ennui de tous les jours jusqu’à obtenir satisfaction (« Victory », « Dress »). Une fois sorties de sa chambre, les chansons de PJ Harvey épatent : les managers du label Too Pure, d’abord, John Peel, ensuite… et puis le reste du monde.
11,50 € ISBN 9782919296095
10 x 18 cm, 72 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2020
C’est une carte de visite de moins de quarante minutes : avec Dry, autrement dit en 11 chansons, PJ Harvey s’est fait un nom – c’est pourtant encore celui d’un trio, que la jeune femme compose avec le bassiste Stephen Vaughan et le batteur Robert Ellis. Plus encore que « différent », Dry est un album surprenant, qui contient des morceaux que son autrice a composées pour personne d’autre qu’elle : à cœur ouvert, PJ Harvey y dit ses amours contrariées sur un lot de guitares rutilantes et pourtant rêches (« Oh My Lover »), emplit ses ritournelles de figures bibliques (« Sheela-Na-Gig », « Happy And Bleeding ») ou matraque l’ennui de tous les jours jusqu’à obtenir satisfaction (« Victory », « Dress »). Une fois sorties de sa chambre, les chansons de PJ Harvey épatent : les managers du label Too Pure, d’abord, John Peel, ensuite… et puis le reste du monde.